Salut mes élèves! Voici un outil pour vous aider à apprendre le français. Ce blog a été conçu comme un complément du cours. Amusez-vous bien!
mardi 24 novembre 2015
mercredi 11 novembre 2015
dimanche 1 novembre 2015
TOC TOC TOC: Des bonbons ou un mauvais sort !?
Voici une terrifiante légende canadienne pour la Halloween. N'ayez pas peur!
La Dame blanche
Connaissez-vous la chute Montmorency, sur la Côte-de-Beaupré, tout près de Québec? Au fil des ans, plusieurs personnes ont juré y avoir vu, quand la nuit tombe, une silhouette féminine, fine et blanche. C’est celle de Mathilde Robin, morte en 1759. Ou plutôt, celle du fantôme de cette femme qu’on appelle désormais : la Dame blanche…
Remontons le fil du temps jusqu’en 1759 : Mathilde vit sur la Côte-de-Beaupré. Elle est pleinement heureuse : à la fin de l’été, elle épousera le beau Louis, celui qui fait battre son cœur. Mathilde a cousu elle-même sa robe de mariée, blanche, comme il se doit. Quelques rumeurs planent sur Québec, comme quoi les Anglais voudraient s’emparer de la ville, mais Mathilde n’y prête pas trop attention. Rien ne peut assombrir son bonheur… Rien, sauf la guerre. Car le 31 juillet, tout bascule. Des cris retentissent soudain : les Anglais sont là, au pied de la chute! Ils veulent prendre Québec aux mains de la France! Les femmes et les enfants se réfugient dans la forêt pour attendre la fin des combats. Les hommes vont prêter main-forte aux soldats français. Le courageux Louis embrasse Mathilde et promet de revenir rapidement.
La Bataille de la chute Montmorency dure quelques jours. Quand elle cesse enfin, malgré le triste tableau des soldats des deux camps morts ici et là, des cris de joie montent dans le ciel de Québec : les Français ont gagné! Victoire! Les hommes regagnent la forêt pour retrouver leurs proches. Le cœur serré, Mathilde attend. Louis ne revient pas. Presque tous sont de retour, maintenant… et Mathilde attend, encore et encore.
Un commandant lui apprend la terrible nouvelle: Louis est mort au combat. Il ne reviendra pas. Folle de douleur, elle court vers sa maison, enfile sa robe de mariée blanche, pose son voile sur ses cheveux. Mathilde Robin se dirige ensuite vers la chute où son fiancé et elle aimaient tant se promener.
Cette chute au pied de laquelle Louis a péri. La pleine lune éclaire sa silhouette fragile. Mathilde ouvre largement les bras en croix. Dans un dernier gémissement de douleur, elle se laisse tomber dans les eaux tumultueuses de la chute Montmorency. On dit que son voile fut emporté par le vent et qu’il se déposa sur les rochers. Quand les gens de la Côte-de-Beaupré passèrent devant, le lendemain, une nouvelle cascade était apparue. On l’appela le Voile de la mariée. Elle est toujours là, juste à gauche de la chute.
Aujourd’hui, deux siècles et demi plus tard, si vous passez par la chute Montmorency, la nuit, vous apercevrez sans doute une frêle jeune fille vêtue d’une longue robe blanche. C’est le fantôme de Mathilde, la Dame blanche. Il arrive même qu’on l’entende gémir jusque sur l’île d’Orléans. Si vous la voyez, ne l’approchez pas trop… On raconte que tous ceux qui ont tenté de toucher à la robe de la belle Mathilde ont connu une mort brutale quelques jours plus tard… Alors contentez-vous de regarder, de loin, le Voile de la mariée et cette Dame blanche, qui pleure pour toujours la mort de son fiancé.
Remontons le fil du temps jusqu’en 1759 : Mathilde vit sur la Côte-de-Beaupré. Elle est pleinement heureuse : à la fin de l’été, elle épousera le beau Louis, celui qui fait battre son cœur. Mathilde a cousu elle-même sa robe de mariée, blanche, comme il se doit. Quelques rumeurs planent sur Québec, comme quoi les Anglais voudraient s’emparer de la ville, mais Mathilde n’y prête pas trop attention. Rien ne peut assombrir son bonheur… Rien, sauf la guerre. Car le 31 juillet, tout bascule. Des cris retentissent soudain : les Anglais sont là, au pied de la chute! Ils veulent prendre Québec aux mains de la France! Les femmes et les enfants se réfugient dans la forêt pour attendre la fin des combats. Les hommes vont prêter main-forte aux soldats français. Le courageux Louis embrasse Mathilde et promet de revenir rapidement.
La Bataille de la chute Montmorency dure quelques jours. Quand elle cesse enfin, malgré le triste tableau des soldats des deux camps morts ici et là, des cris de joie montent dans le ciel de Québec : les Français ont gagné! Victoire! Les hommes regagnent la forêt pour retrouver leurs proches. Le cœur serré, Mathilde attend. Louis ne revient pas. Presque tous sont de retour, maintenant… et Mathilde attend, encore et encore.
Un commandant lui apprend la terrible nouvelle: Louis est mort au combat. Il ne reviendra pas. Folle de douleur, elle court vers sa maison, enfile sa robe de mariée blanche, pose son voile sur ses cheveux. Mathilde Robin se dirige ensuite vers la chute où son fiancé et elle aimaient tant se promener.
Cette chute au pied de laquelle Louis a péri. La pleine lune éclaire sa silhouette fragile. Mathilde ouvre largement les bras en croix. Dans un dernier gémissement de douleur, elle se laisse tomber dans les eaux tumultueuses de la chute Montmorency. On dit que son voile fut emporté par le vent et qu’il se déposa sur les rochers. Quand les gens de la Côte-de-Beaupré passèrent devant, le lendemain, une nouvelle cascade était apparue. On l’appela le Voile de la mariée. Elle est toujours là, juste à gauche de la chute.
Aujourd’hui, deux siècles et demi plus tard, si vous passez par la chute Montmorency, la nuit, vous apercevrez sans doute une frêle jeune fille vêtue d’une longue robe blanche. C’est le fantôme de Mathilde, la Dame blanche. Il arrive même qu’on l’entende gémir jusque sur l’île d’Orléans. Si vous la voyez, ne l’approchez pas trop… On raconte que tous ceux qui ont tenté de toucher à la robe de la belle Mathilde ont connu une mort brutale quelques jours plus tard… Alors contentez-vous de regarder, de loin, le Voile de la mariée et cette Dame blanche, qui pleure pour toujours la mort de son fiancé.
mercredi 21 octobre 2015
LES SYMBOLES DE FRANCE
Que sais-tu sur les symboles de France? CLIQUE ICI pour faire le test
Pour en savoir plus: LES SYMBOLES
Pour en savoir plus: LES SYMBOLES
jeudi 24 septembre 2015
jeudi 17 septembre 2015
LES CONSIGNES DE CLASSE
Comment communiquer en classe et comprendre les phrases plus utilisées par ton prof? Voici des exercices pour t'aider à les apprendre: CLIQUE ICI
mardi 24 février 2015
mardi 3 février 2015
dimanche 25 janvier 2015
Quelques expressions familières et leur traduction en espagnol
- Aller à quelqu’un comme un gant - Sentar como anillo al dedo
- Appeler un chat un chat - Llamar al pan pan y al vino vino
- Après la pluie, le beau temps - Después de la tempestad viene la calma
- Au bout de son rouleau - Estar próximo a morir
- Au bout du tunnel - El fin del túnel
- Au pied de la lettre - Al pie de la letra
- Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois - En país de ciegos, el tuerto es rey
- Autant chercher une aiguille dans une botte de foin -Buscar una aguja en un pajar
- Avoir bon pied bon œil - Estar más sano que una manzana / Ser más fuerte que un roble
- Avoir des fourmis dans les jambes - Sentir hormigueo en las piernas
- Avoir du front tout le tour de la tête – Tener perspicacia
- Avoir du pain sur la planche – Tener algo muy complicado que hacer
- Avoir l’estomac dans les talons – Tener mucha hambre
- Avoir l’oreille fine – Tener el oído fino
- Avoir la chair de poule – Tener la carne de gallina
- Avoir la grosse tête – Darse el pisto / Echarse flores / Tener muchos aires
- Avoir le beurre et l’argent du beurre – Querer el oro y el moro (o teta o sopa)
- Avoir le compas dans l’œil - Tener ojo de buen cubero
- Bavard comme une pie – Hablar como una cotorra
- Bayer aux corneilles/Bâiller à s’en décrocher la mâchoire – Pensar en musarañas
- Boire comme une éponge – Beber como una cuba/como una esponja
- Bouche cousue! – ¡Punto en boca!
- C’est du gâteau. – Es pan comido
- C’est en forgeant qu’on devient forgeron. – La práctica hace al maestro.
- C’est là où le bât blesse. – El punto débil, la olma de mi zapato.
- Casser les pieds à quelqu’un – Dar la lata a alguien
- Changer un cheval borgne pour un cheval aveugle –Salir de Guatemala para meterte en Guatepeor.
- De fil en aiguille – Entre una cosa y otra…
- Débarrasser le plancher – Ahuecar el ala
- Dévoiler le pot aux roses – Descubrir el pastel
- Donner un coup de poignard dans le dos – Puñalada por la espalda
- En avril, ne te découvre pas d’un fil; en mai, fais ce qu’il te plaît. – Hasta el cuarenta de mayo, no te quites el sayo.
- En faire tout un plat – Hace una montaña de un grano de arena.
- En un clin d’œil – En un pis pás
- Enfoncer une porte ouverte – Descubrir américa/descubrir la pólvora
- Écraser dans l’œuf - Cortar de raíz
- Être à côté de ses pompes – Estar despistado/estar en su pompa
- Être comme les deux doigts de la main – Ser uña y carne
- Être dans une impasse – Un callejón sin salida
- Être la cinquième roue du carrosse – Ser el último mono
- Être né sous une bonne étoile – Tener estrella
- Faire chou blanc – Llevarse un chasco
- Faire contre mauvaise fortune bon cœur – Al mal tiempo, Buena cara
- Faire d’une pierre deux coups – Matar dos pájaros de un tiro
- Faire des yeux de velours à quelqu’un – Hacer ojitos
- Faire la pluie et le beau temps – Ser el amo
- Faire mouche – Dar en el blanco
- Fermer les yeux sur quelque chose – Hacer la vista gorda
- Fou comme la merde – Loco de atar
- Gai comme un pinson – Alegre como unas castañuelas
- Humeur de chien – Estar de mala leche
- Il n’y a pas de fumée sans feu. – Cuando el río suena, agua lleva
- Il pleut/tombe des clous – Llueve a cántaros
- Il y a anguille sous roche. – Hay gato encerrado
- Il y a plusieurs façons de plumer un canard. – Cada maestrillo tiene su librillo.
- Jeter l’argent par les fenêtres – Tirar la casa por la ventana
- Les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés. –En casa de herrero, cuchillo de palo.
- Marcher comme sur des roulettes – Ir sobre ruedas
- Mettre des bâtons dans les roues – Poner trabas
- Mettre la puce à l’oreille – La mosca detrás de la oreja
- Mettre le doigt sur quelque chose – Dar en el clavo
- Mettre tous ses œufs dans le même panier – Jugar todo a una carta
- Mon petit doigt me l’a dit. – Me lo ha dicho un pajarito
- Ne pas avoir la langue dans sa poche – Sin pelos en la lengua
- Ne pas y aller par quatre chemins – No andar con rodeos
- Ne tenir qu’à un fil – Estar pendiente de un hilo
- Passer l’éponge sur quelque chose – Borrón y cuenta nueva
- Payer rubis sur l’ongle – Pagar a toca teja
- Quand on parle du loup, on en voit la queue. –Hablando del rey de Roma por la puerta asoma.
- Qui se ressemble s’assemble. – Dime con quién andas y te diré quién eres.
- Rendre la monnaie de sa pièce – Pagar con la misma moneda
- Savoir d’où vient le vent – Arrimarse al sol que mas calienta
- Se cogner/Se taper la tête contre les murs – De cabeza contra la pared.
- Se jeter dans la gueule du loup – Entrar en la boca del lobo
- Taper dans le mille – Dar en el blanco
- Tâter le terrain – Tantear el terreno
- Tendre l’autre joue – Poner la otra mejilla.
- Tenir le crachoir – Hablar por los codos
- Tirer son chapeau à quelqu’un – Me quito el sombrero
- Tiré à quatre épingles – De punta en blanco
- Toucher du bois – Tocar madera
- Tourner autour du pot – Andar por las ramas
- Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. – ¡Más vale pájaro en mano que ciento volando!
- Une tempête dans un verre d’eau – Se ahoga en un vaso de agua
- Voir trente-six chandelles – Ver las estrellas
- Comme dans un moulin – Como pedro por su casa
Petits coulants aux deux chocolats
Petits coulants aux deux chocolats
Liste des ingrédients
- 200 g de chocolat noir à pâtisser
- 50 g de farine
- 4 oeufs frais
- 70 g de beurre
- 50 g de chocolat blanc
- 70 g de sucre
Etapes de la recette
- Préchauffez votre four a 200 °C
- Dans un plat qui va au microondes, mettre le beurre et le chocolat noir + 1cc d'eau, 1 minute au microondes. Battre à la main pour lisser le chocolat.
- Battre le sucre et les oeufs pour obtenir un mélange mousseux
- Mélanger au chocolat fondu qui a tiédit quelques minutes
- Rajouter la farine tamisée
- Verser la préparation aux 2/3 de vos caissettes ou moules à muffins
- Faire fondre le chocolat blanc 30 secondes au microondes et déposer en une CS (cuillère à soupe) au centre de chaque caissette, en enfonçant légèrement au centre du chocolat noir
- Enfourner pendant 7 à 8 minutes, laisser tiédir 5 minutes et servir!
VOCABULAIRE:
- Préchauffer: Effectuer un chauffage préalable. Ex: préchauffer un four.
- Lisser: Fouetter vigoureusement une crème ou une sauce afin qu’elle devienne liquide et qu’elle n’ait pas de grumeaux.
- Rajouter: Ajouter à nouveau.
- Verser: Incorporer.
- Moule: Récipient de formes diverses servant au moulage de certaines préparations culinaires.
- Enfoncer: Faire pénétrer quelque chose profondément dans autre chose, le pousser vers le fond de quelque chose
- Enfourner: Mettre dans un four.
Pour voir d'autres recettes intéressantes: http://www.hervecuisine.com/
mardi 20 janvier 2015
L'IMPÉRATIF
Pour pratiquer l'impératif je vous propose les exercices ci-dessous, j'espère que vous vous amuserez à les faire.
1. Exercice audio
2. Explication + exercices
3. Au marché
4. Exercice écrit
5. Écoute et complète
6. Des chansons: UN, DEUX, TROIS DIS-MOI QUE L'AMOUR
VOCABULAIRE "HISTOIRE DE LA PREMIÈRE BALEINE BLANCHE"
OÙ: DONDE
POUSSER: CRECER (LAS PLANTAS)
RABOUGRI: ENCLENQUE, CANIJO
BANQUISE: BANCO DE HIELO
GLACE: HIELO
TOUFFE DE FOURRURE: MANOJO DE PIEL
HURLER: GRITAR
RIEN: NADA
COUDRE: COSER
SE REMARIER: CASARSE
CHOISIR: ELEGIR
AU DÉBUT: AL PRINCIPIO
AU FIL DU TEMPS: AL CABO DE UN TIEMPO
REPORTER: TRASLADAR
INTERDIRE: PROHIBIR
POÊLE: ESTUFA
TIRER D'AFFAIRE: SACAR DEL APURO
MAUVAISE MINE: MALA CARA
BANQUISE: BANCO DE HIELO
GLACE: HIELO
TOUFFE DE FOURRURE: MANOJO DE PIEL
HURLER: GRITAR
RIEN: NADA
COUDRE: COSER
SE REMARIER: CASARSE
CHOISIR: ELEGIR
AU DÉBUT: AL PRINCIPIO
AU FIL DU TEMPS: AL CABO DE UN TIEMPO
REPORTER: TRASLADAR
INTERDIRE: PROHIBIR
POÊLE: ESTUFA
TIRER D'AFFAIRE: SACAR DEL APURO
MAUVAISE MINE: MALA CARA
Remarque: Mots traduits en contexte.
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